Bonsoir,
Voilà nous sommes de retour à la ferme après deux semaines de coopération internationale avec les paysans du Burkina.
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Retour difficile à cause du froid régnant ici. Il faisait 40°C à Ouaga lors du décollage et -2°C à Roissy à l’atterrissage.
Retour difficile à cause de l’ambiance triste, grise et artificielle des villes de France après 15 jours de sourires, de bienvenues et de gestes d’amitié.
Retour difficile à cause de nos chevaux qui se sont échappés de leur enclos à cause d’une clôture électrique coupée. Échappée qu’il a fallu gérer au téléphone dès notre arrivée en France sans être sur notre ferme. Merci aux amis de s’être mobilisé, en particulier à Jacques. Échappée qui va nous valoir une amende pour divagation!
[simage=200,512,y,center] Heureusement Noël en famille nous a amené un peu de chaleur humaine que nous avions quitté quelques jours auparavant. Et Coline qui revient de deux mois au Togo et vient partager son dimanche avec nous pour parler de « son » Afrique. [simage=190,512,y,center] C’est sur, nous repartirons au Burkina.Pour aller chez Nicodème Traoré à Toussiana, c’est très simple. Il faut se rendre sur sa page web sur le site d’accueil paysan et le contacter par mail. Vous partagerez alors la vie d’une famille de paysans Burkinabé, découvrirez son mode de vie, ses voisins, son environnement et vous serez séduits par la gentillesse de tous.
Bonjour Anne-Marie, merci de votre reponse. J’aimerais partir pour une mission au prés d’enfants ou simplement d’aide pour les habitants d’un village. Je ne sais pas encore quand je souhaiterais partir puisque j’ai trouver votre site grâce à mes recherches.
Je ne suis pas adhérentes d’associations a l’heure actuel. J’aimerais avoir plus d’information sur votre mission alors merci pour les adresses je vais prendre contact avec ces personnes
merci encore
a bientot
Bonjour Michelle,
Quand souhaitez-vous partir? pour quel type de mission? Nous sommes adhérents Accueil-Paysan.
Pour être hébergé chez des paysans, le mieux est de contacter Nicodème SINTI TRAORE à Toussiana. Il est le responsable Accueil-Paysan au Burkina et répertorié sur le site http://www.accueil-paysan.com
Nous repartirons sans doute vers oct nov 2010.
Pour plus d’infos et de discussions, n’hésitez pas à nous envoyer un mail à am.cottineau@wanadoo.fr ou ericcottineau@wanadoo.fr
A bientôt pour plus d’infos
Anne-Marie
Bonjour eric j’ai aimé voir vos photos j’aurais aimer vous demander comment vous avez fait pour être heberger sur place
Voila j’aimerais partir en mission mais je ne sais comment m’y prendre
J’aimerais avoir plus d’informations merci d’avance
bon courage pour votre retour
Eric,
C’est exactement ce que j’ai rencontré au Brésil, au fin fond du pays.
Et le dépaysement est encore plus violent quand on revient avec du froid du brouillard et du mauvais temps … je connais bien.
On voudrait repartir les retrouver et vivre avec eux dans leur si joli pays et leur convivialité .
Mais sans les problèmes de santé …. et c’est là qu’est le problème, car on ne peut pas vivre là-bas sans en avoir les inconvénients. nous sommes aussi trop habitués à nos soins genre sécurité sociale et notre confort pécunier!
Aller, bonne reprise.
A +
Jean-Claude.
Merci Jean -Claude pour tes commentaires.
Nous avons déjà voyagé mais c’est la première fois que nous sommes autant dépaysés.
Nous avons rencontré des gens pauvres selon les critères matériels occidentaux, mais riches de solidarité, de convivialité.
Dans les campagnes que nous avons traversés, les enfants n’avaient pas faim, ils étaient globalement en forme. Seul les soins et l’hygiène posaient problèmes.
Bonjour,
Bravo Eric et Anne Marie pour votre super voyage, merci pour nous avoir fait partager tous ces moments intenses que vous avez vécus!
Je comprends fort bien les difficultés de votre retour en France, la vie ici n’est vraiment pas la même que là-bas, pour le climat et les gens qui y habitent!
» Retour difficile à cause de l’ambiance triste, grise et artificielle des villes de France après 15 jours de sourires, de bienvenues et de gestes d’amitié »
Et bien je peux vous dire que je ressentais la même chose quand je revenais du Brésil, à chaque fois que j’y allais il y a quelques années
La pauvreté matérielle des personnes qui habitent ces régions, est largement compensée par la richesse de l’âme et des relations entre les êtres vivants.
Quant aux mauvaises surprises du retour à la ferme, ce sera bientôt oublié.
Bon courage, et à bientôt
Jean-Claude